jeudi 17 novembre 2016

Quelques Elus !!!


La vrai vie au Crédit Agricole !

C’EST ÇA, LA VRAIE VIE AU CREDIT AGRICOLE

  


  

JE SUBIS OU J’AI CONNAISSANCE QU’UN OU UNE SALARIEE SUBIT :
·         Des remarques désobligeantes,
·         Des allusions malveillantes,
·         Des gestes déplacés,
·         Un isolement,
·         Des compétences professionnelles sans cesse mises en doute de façon équivoque,
·         Des pressions incitant à la faute.
DE CE FAIT :
·         Je culpabilise,
·         J’ai le sommeil perturbé,
·         Je ressens une pression intense,
·         Je n’ai plus de motivation,
·         Je deviens dépressif….


QUE DOIS-JE FAIRE ?

VENEZ NOUS EN PARLER !
Ne signez rien, n’écrivez rien.

Exemple découvert par vos élus :
- Vous  êtes convoqués par votre DA, lors de l’entretien, vous vous apercevez que votre DR est présent.

- Lors de l’entretien, vous abordez ensemble l’atteinte de vos objectifs : vous vous défendez en mettant en avant la charge de travail, rdv prêt habitat, ……  et on arrive à vous  dire que vous êtes mal organisé(e), et  que le mieux est d’établir un plan de progrès…. Pour vous aider !!!

Et à partir de ce moment là, vous risquez d’entrer dans un engrenage,
N’oubliez pas que vous n’êtes pas responsables, c’est votre employeur qui est garant de votre santé.
Ne restez pas seuls, parlez en autour de vous,


Ne vous isolez pas, et faites appel à vos délégués du personnel !!! 

Un salarié sur deux en a plein le dos !

Bonne nouvelle ? Depuis deux ans, le bilan des accidents du travail se stabilise, selon les chiffres de l’assurance maladie publiés mardi.

En 2015, leur fréquence a même légèrement chuté de 0,3 %, avec une baisse plus marquée dans l’intérim (- 3,7 %), le BTP (- 2,6 %) et la chimie (- 2,5 %). Preuve que la prévention paye dans ces secteurs à risque.
De manière absolue, il convient plutôt de parler d’une stabilisation, le nombre total d’accidents du travail subissant une très légère hausse, avec 545 décès et près de 625 000 accidents en 2015, contre 621 000 en 2014. Le tout pour un coût de 3,6 milliards d’euros pour les entreprises.
Même tendance à la «stabilisation» concernant les accidents de trajet domicile-travail, qui connaissent une très légère hausse (87 838 en 2015). Quant au nombre de maladies professionnelles (50 960 en 2015, 381 décès), composées à plus de 87 % par les troubles musculo-squelettiques, il chute légèrement.
Si la situation s’améliore pour certaines professions, d’autres présentent des données préoccupantes. C’est le cas des services à la personne, qui connaissent une hausse de 3,4 % des accidents de travail. La faute, en grande partie, aux lombalgies. Représentant 20 % des accidents du travail et touchant un Français sur deux, pour un coût annuel d’un milliard d’euros, ces douleurs situées dans le bas du dos n’épargnent pas ces salariés, et notamment ceux réalisant des manutentions manuelles, cause d’un accident du travail sur deux.


mardi 8 novembre 2016

Les tarifs des banques en ligne augmentent...

Après avoir voulu conquérir les clients avec la gratuité,

La majorité des banque en ligne modifient leurs conditions de facturation à partir de 2017.

Axa Banque :
Aujourd'hui, les cartes bancaires sont facturées entre 28€ (electron) et 127€ (visa premier).
Elles sont remboursées partiellement ou totalement suivant le montant de dépense dans l'année (avec souscription d'un compte service).

En 2017, les cartes deviennent gratuites. Officiellement !!
Les cartes seront payantes sans une utilisation minimum de 900€ par trimestre.  

ING Direct :
En 2017, un minimum de revenu domicilié de 1200€ par mois sera nécessaire pour continuer à bénéficier de la gratuité.

Les banques en ligne vont devoir changer leurs modèles pour arriver à gagner de l'argent.
Elles vont se rapprocher progressivement des tarifications des banques traditionnelles.

vendredi 4 novembre 2016

La baisse artificielle du chômage et la montée réelle de la précarité

Globalement, le nombre de chômeurs, toutes catégories confondues A+B+C, augmente de + 0,8% sur trois mois et 0,9 % sur un an. Le total des catégories B + C est en augmentation constante (+ 1,4 % sur un mois, 4,2 % sur trois mois et + 6,1 % sur un an) pour atteindre presque 2 millions de personnes. 

Donc, c’est bien le travail précaire qui augmente et non le chômage qui baisse.

Certes, la catégorie A est à nouveau en baisse de 1,9 % sur un mois et 1 % sur trois mois mais c’est l’arbre qui cache la forêt. Ainsi, les chômeurs de plus de 50 ans sont toujours au plus mal : plus 0,8 %sur trois mois et plus 2,4 %sur un an. L’effet du report de l’âge du départ en retraite continue de peser sur les chômeurs de plus de 60 ans dont beaucoup connaissent des fins de droits au chômage bien avant le départ en retraite.

Le plan 500 000 formations supplémentaires fait son effet : on constate l’augmentation du nombre de chômeurs en catégorie D de 6,8% sur trois mois ! Ces chômeurs qui passent en catégorie D ne sont pas sortis du chômage mais sont simplement des chiffres qui servent de référence.

Selon Pôle emploi, le nombre de reprises d’emploi au cours du 2ème trimestre 2016 est en hausse de 3,6 % par rapport au 2ème trimestre 2015. Cette hausse est à mettre au crédit du travail saisonnier qui prend de plus en plus de place dans les embauches utilisées par le patronat. Par ailleurs, cette hausse est inégale en fonction des âges puisque, pour les moins de 25 ans, il s’agit d’une baisse de 0,9 %. 

Cette évolution confirme la tendance ascendante de l’utilisation des contrats saisonniers par les travailleurs de plus de 50 ans et les retraités. Leur exclusion du monde du travail pour les uns et leurs faibles moyens de subsistance pour les autres font que ce phénomène s’amplifiera encore dans la période à venir.

Les contrats courts sont toujours de mise, l’activité réduite touche 34,4 % des inscrits dans les catégories A.B.C., c’est ainsi que les contrats intérimaires augmentent de 5,3% en un an. Le recours aux contrats à durée déterminée s’intensifie.

La nécessité de mettre en place une sur-cotisation sur les contrats courts est de plus en plus d’actualité. Les négociations sur l’assurance chômage doivent reprendre au plus vite, sur cette base, à l’opposé de ce que propose le Medef.